Test du set « Special Effects » de Vallejo

Par Kirou

Préliminaires : 
J’ai craqué dessus en cherchant un set pour m’amuser un peu. 17,80€ pour 8 pots de 17ml, soit 2,25€ le pot. Peu cher pour de la peinture d’une marque qui m’a déjà convaincu sur pas mal de références. J’ai donc sauté le pas après avoir fureté un peu sur le net pour connaitre ce qu’il y avait exactement dans le set.

À la réception, je découvre un emballage sympa mais plutôt standard, ces derniers temps, pour les sets de peinture. Avec une bonne grosse tête de zombie qui fait plaisir !

IMG-8256.jpg

Dedans, 8 pots et un tuto recto/verso d’Angel Giraldez.

IMG-8258.jpg

Le tuto est plutôt sympa. Il présente l’utilisation des différents pots proposés dans le kit, ceci via la peinture d’une tête de zombie mais les techniques proposées peuvent s’appliquer à pas mal de choses! Ce tuto est en anglais et en espagnol. Je constate quelques erreurs de traduction entre les deux mais il est facilement compréhensible quand même. Les photos sont très parlantes ! Je dirais qu’il y a des choses à apprendre pour tous les niveaux de peintres, du débutant à l’intermédiaire +.
Un petit plus toujours agréable dans un set de peinture !

bxe2rvs0eg4k.jpg

Le vif du sujet : 
Penchons-nous un peu plus en détail sur ce qui compose le kit lui-même.

Tout d’abord, commençons par les deux peintures visant le sang : Dried Blood et Fresh Blood
La première pour le sang séché et la seconde pour le sang frais (oui je suis perspicace ou du moins j’ai un niveau d’anglais A1…).
Le tuto conseille d’utiliser les deux en appliquant d’abord le Dried par endroit puis le Fresh. Ce que je me suis appliqué à faire sur l’arme de ma figurine pour le Mob Project.

wfkcdoiqhf2r.jpg

Le Dried devient satiné en séchant lorsque le Fresh reste brillant. La peinture est agréable à travailler aussi bien à la mousse (en tapotant) qu’au pinceau. Par contre, point de vue personnel, je n’aime pas trop le rendu. Autant le Dried me servira peut-être de temps à autre, autant pour l’aspect « sang frais » je préfère rester sur mon astuce de l’encre de stylo bille rouge :) (d’autres garderons leur Tamiya X-27)
Deux peintures sympas donc, qui donnent un effet plutôt efficace mais qui ne me feront pas changer mes habitudes. Par contre elles semblent bien adaptées pour quelqu’un qui veut une solution facile pour peindre le sang. (Même si le stylo bille c’est ultra facile ;) )

Quand le Vomit est appétissant…
La peinture « vomi » est plutôt cool malgré son nom… En effet, la couleur est parfaite (entre un espèce de « vert caca d’oie fermenté » et un jaune « urine distillée »), la texture un poil liquide est agréable pour permettre des traînées/flaques et des effets de transparences. Elle reste brillante après séchage, un plus pour l’aspect « dégueu ». Qui a dit mare de vomi frais sur les godasses ?! :D
De mon point de vue, elle s’adapte parfaitement à la réalisation de socles et à une application sur du nurgle/pourri/truc dégoulinant, pour remplir les creux bedonnant ou faire de la bave de quelques semaines :D Bref, je valide !
Ici sur un socle Necromunda :

IMG-8269.jpg

Le Rotten White, lui, sert partout; tant qu’on veut faire du crado/lugubre et même ailleurs probablement…
Je l’ai testé notamment dans un traitement de peau maladive/caverneuse. Il se marie très bien pour éclaircir les tons chairs jusqu’au dernier éclaircissement final. Très proche d’un blanc classique, il est légèrement relevé d’un je ne sais quoi qui rend son teint glauque. Néanmoins cette peinture n’est clairement pas indispensable, un blanc classique suffira pour la plupart des usages, mais de temps en temps pourquoi ne pas l’utiliser ? Peut-être sur un traitement de voile/tissu de spectre ? À creuser ;)

Faire des trous dans sa peinture grâce au Chipping medium.
Comme son nom l’indique ce n’est pas ici une peinture mais un medium qui après séchage s’enlève partiellement en grattant la surface (en l’ayant préalablement recouverte d’une autre peinture.). J’ai testé une fois sur une petite surface, ça va mériter des re-tests, notamment sur des plus grandes surfaces et avec un meilleur outil de grattage. L’idée principale telle que présentée dans le tuto de Giraldez et de travailler un métal rouillé, puis le recouvrir de medium, puis de Vert-de-gris (ou d’une couleur autre), et enfin de gratter pour donner un métal usé avec des éclats de peinture.
Je pense que sur du véhicule ou du buste ça peut le faire, sur du 28mm de jeu je n’y vois pas grand intérêt pour l’instant. Surtout que l’utilisation de l’aérographe est préconisé pour la couche supérieure. Il doit être certainement plus rapide de faire du weathering à base de mousse de blister…
Néanmoins, peut-être pour faire une armée de Space marine du chaos Nurgle en mode bourrin : aéro + medium + couleur + grattage + lavis ?
À continuer d’explorer donc, sur des plus grandes surfaces !

Le meilleur pour la fin ! Le trio Dried Rust/Verdigri/Rust.
Très belle découverte dans ce kit que ces trois couleurs tout à fait convaincantes dans le traitement d’un métal usé/rouillé !

Le Dried Rust tout d’abord, un pseudo lavis texturé avec une espèce de sable (la peinture est liquide mais granuleuse à la fois :o). La couleur est bluffante surtout après séchage, elle se « matifie » et donne de la consistance aux métaux (on retrouve hyper bien l’aspect du vieux métal, rugueux et irrégulier). Très facile d’application (légèrement moins liquide que les shades Games Workshop), un peu transparente, elle permet de jouer avec les couches inférieures et sa dilution se fait facilement (on peut l’appliquer en lavis sans problème après). La superposition permet d’approfondir la couleur et l’intensité de la granularité du métal rouillé, bref c’est du bon, je l’ai adopté d’office ! Facile d’utilisation et bougrement efficace, une bonne référence pour du bon tabletop rapide !

Le Verdigri et le Rust viennent en complément. Les deux sont assez liquide (mais pas trop) pour pouvoir jouer avec les transparences et l’intensité de la couleur à l’application. Ils réagissent bien à un traitement via tapotage à la mousse ou au pinceau. Ils rehaussent parfaitement le Dried Rust et le trio se combine très bien. Bref, ils subliment le Dried Rust afin d’obtenir un rendu au top sans trop se fatiguer :D
D’aucun diront qu’on pourrait faire la rouille avec un orange et le vert-de-gris avec un turquoise. Je leur répondrai « oui » (c’est ce que je faisais jusque là et ça fonctionnait pas mal du tout), mais là les teintes sont vraiment parfaitement ajustées et la pigmentation/dilution également. Pas indispensable, donc, mais sacrément agréable et efficace en plus d’être beau !
Ici sur une arme Cawdor, un traitement rapide et sacrément classe (enfin pour un Cawdor…) !

IMG-8270.jpg

Le repos du guerrier : 

Pour finir, ce set propose pas mal de trucs sympas ! Il est clairement orienté peinture de truc « crado » type zombie, pouilleux, etc… En même temps, l’image de la boite laisse peu de doute là-dessus. On ne va probablement pas utiliser ça pour peindre des elfettes… Je pense qu’il peut être un bon appui technique d’un kit plus basique de peintures pour augmenter un peu son niveau et surtout son rendu, sans y passer trop de temps. :)
Clairement il y a des pots qui vont servir plus que d’autres mais, au final, le set est plutôt bien construit et cohérent, il atteint sa cible, à savoir : fournir de quoi peindre des choses un peu plus techniques (sang, métaux,…) qui se rejoignent dans un type d’univers (dark/crade), sans se prendre trop la tête. Il pourra d’ailleurs s’adapter à de nombreux jeux sur des époques différentes (aussi bien sur de la créature à Frostgrave, du ganger à Necromunda, ou même du zombie à Zombicide par exemples…) !
Bonne surprise globalement et du coup, surtout pour le prix, je pense qu’il y a certaines références que je rachèterai seules une fois terminées (Dried Rust en fer de lance), d’autres non (Dried et Fresh Blood). Il y a des pots que j’utiliserai très rarement du fait de certaines pratiques de peinture personnelles qui me paraissent plus adaptées…

Ici une mise en application surs quelques figurines Necromunda (métaux, vomit, rotten white dans la peau) :

20190101-185327.jpg

J’espère que cette présentation vous aura plus !

Premiers tests de la Scalecolor de chez Scale75

Salut les forgeux à poils de martre !

Il est temps, parlons un peu de la Scale75 : « la peinture qu’elle est bien sur Youtube ».
Pour ceux qui seraient tentés, on peut la trouver aisément chez Green Stuff World ou directement via le site web de la marque https://scale75.com/. Je précise, comme d’usage, qu’il n’y aucun lien entre scale75, G.S.World et la Forge Ludique. II s’agit juste de pots achetés avec amour et curiosité. Tout ce qui suit n’est donc que mon ressenti personnel, sans aucun à priori.

Il existe deux gammes totalement différentes chez scale75 : la Scalecolor et la Scale Games. Le positionnement de ces deux gammes est le même que celui de la PA Classic par rapport à la PA Games : d’un coté des couleurs réalistes voire historiques, de l’autre des couleurs plus fantasy (qu’elles sont bien pour peindre des orks en vert fluo ou des Space Marines  en orange). Attention, ces deux gammes ne semblent pas du tout utiliser les mêmes médiums et je les crois très différentes. Nous n’allons traiter ici que de la Scalecolor. Les produits de ces gammes étant espagnols, je suppose que Vallejo en est le fabriquant. Cependant, nous avons là des peintures vraiment différentes et donc qui valent le coup de s’y attarder.

Comme d’usage partons avec une figurine que j’ai sous-couchée à la polyuréthane et à l’aérographe : un vague zénithal. (Je mets les images sur imgbb, cliquez dessus pour les avoir en version nette).

Je vais tester les références Scale75 SC-57 « Petroleum Gray » & Scale75 SC-35 « Deep Red ».

Commençons par le Deep Red. La photo suivante est très intéressante. Regardez-la en grande résolution.

Comme on le voit la peinture est super fine, vraiment super fine, passée au pinceau elle rivalise avec un aérographe. Elle est très transparente, incroyablement mate même coupée au Klir (j’y reviendrai). Même sans l’avoir fortement diluée elle ne couvre même pas la sous-couche. Regardez comme elle laisse bien apparaître le noir de sous-couche en bas du pagne et comment on voit encore au travers les crachotis de blanc de mon aérographe. Bref clairement, ce n’est pas une peinture qui se passe en une couche.

Continuons. (Observez, là aussi, en grande résolution).


Après avoir passé au moins 3 ou 4 couches de rouge, ça commence à prendre un peu la couleur. Bon, j’aurais aimé obtenir un ton plus profond pour cette couleur. Elle se nomme deep red, je ne la vois pas si deep et pas si red . Notez que la balance des couleurs est juste sur cette photo. Je m’essaie aussi « Petroleum Gray » que je vois plutôt comme un marron désaturé qu’un gris. Je m’attendais à quelque chose de plus gris en regardant le pot. Observez comme c’est mat…L’épaulière sur la droite de la photo en est le bon exemple. On y retrouve un quelque chose de la Pebeo/Rackham… Et ce n’est pas facile à manipuler et ça ne pardonne absolument rien sur la régularité des couches.

NB : Il faut que je vous parle de la texture de la peinture elle-même. Je ne peux pas le montrer en photo et c’est pourtant le point le plus important de cette peinture. Elle est très élastique et à séchage quelque peu plus lent que nos peintures usuelles. Lorsque l’on dépose de la peinture sur la figurine, on peut continuer à la déplacer vraiment en la poussant ou en la tirant. Un peu comme si il y avait un max de Klir dedans et un retardateur acrylique. Elle semble comme un peu huileuse. Elle ne perd absolument pas en cohérence et pour soigner un dégradé ça doit être un pied absolu. Je pense d’ailleurs qu’on ne pose pas vraiment d’aplats avec cette peinture, on commence directement à jouer avec sa transparence et à la pousser où nécessaire.
Pour la fluidité, on est entre de la PA Classic et de la PA Air : bien fluide mais pas complètement liquide. Elle doit bien passer à l’aérographe.

Petit revers, sur la photo ci-dessus, je n’ai pas attendu assez que la peinture sèche sur l’épaule droite de la figurine où j’en avais poussée un peu pour marquer le creux de l’épaule et éclaircir par contraste le pectoral. Elle était, à cet endroit, un poil plus épaisse. Du coup, au passage suivant du pinceau, la peinture s’est arrachée créant une auréole très moche. Repasser par dessus n’effacera pas les dégâts précédents comme vous pouvez le voir.

A cet instant arrive un grand drame. Comment travailler quelque chose d’aussi mat quand toute votre peinture est satinée ? Et bien ça passe super mal et je pense que malheureusement, soit il faut posséder une grosse base de couleurs scale75, soit on est bien embêté (un tout ou rien)…Regardez le pagne sur la photo ci-après, le orange satiné passe bien mal sur le rouge mat.

Je vais tout de même finir cette figurine avec de la PA Classic et un peu de vernis et donc j’obtiendrai la photo ci-après. Comme vous pouvez le voir, je n’ai pas pu corriger l’épaule, ni beaucoup réduire le coté mat, ceci malgré quelques lavis et du vernis satiné. Attention, tout de même, la photo étant très zoomée, dans la réalité ces défauts et les autres deviennent « presque » invisibles à l’œil nu. Il me manque un peu de bleus et un peu de rouges sur cette photo, le réglage n’était pas parfait. La peau est d’un gris beaucoup plus bleuté qui contraste bien mieux avec le marron gris de l’armure.

Premières conclusions :

Pros :
– Une peinture super super fine,
– Qui se dilue à l’infini tout en gardant une cohérence incroyable,
– Une texture qui permet pleinement de la pousser/ de la tirer où on veut. Ça sent bon les dégradés magnifiques et la peinture de concours.

Cons :
– Elle demande de l’expérience et ne pardonne absolument rien,
– Certainement bien fragile,
– Et tellement mate… Si compliquée à intégrer à une palette existante.

My two cents : 
En fait, j’ai pris mon pied. Une peinture vraiment compliquée mais totalement jouissive. Je me suis senti tout malheureux en voyant que le reste de ma peinture satinée allait mal s’intégrer dessus et que du coup, je n’allais pas pouvoir tester de jolis dégradés avec, comme je l’aurais voulu. par contre, je la déconseille d’ores et déjà totalement aux débutants et à tout ceux qui voudraient peindre vite.

A venir : Je n’ai pas fini de jouer avec, je voudrais la tester en lavis, en glacis et à l’aérographe. Donc, une/des suite(s) de ce test à venir. Peut-être me faudrait-il prendre en compte ce produit décrit commercialement comme « permettant de rendre vos couleurs plus intenses, de saturer, nuancer ou lisser vos dégradés ». Peut-être est-ce le moyen de casser ce coté trop mat qui est parfois bien dur pour le regard ?

Découverte : Kill Team

Il est 6h38, j’ouvre la boîte je sépare les grappes et autres éléments, sans plus attendre j’attaque le livre de règles. Il faut déjà préciser que j’avais tenté hier soir de lire le livre mais la fatigue m’envahissait et j’ai abdiqué.
Je suis dès lors frappé par la couverture qui représente semble-t-il la Raven Guard, faction des Space Marines sur laquelle j’avais jeté mon dévolu pour mon projet Compet’ 40k . C’est un bouquin assez épais, somme toute assez qualitatif. C’est une couverture souple, ça se feuillette bien et je suis impatient de pouvoir faire virevolter les pages. A en croire tout ce qu’on peut voir, et mes expérience, les livres Citadel depuis quelques temps montrent une qualité très appréciable et ce livre n’est pas exclu du lot.

7h05, j’ai lu un petit peu le fluff, ça a l’air quand même super immersif, ça donne envie de composer sa petite bande pour inscrire leurs actions dans le cadre d’une bataille plus grande que l’on pourrait jouer sur un format bataille de Warhammer 40K,  qu’on puisse insérer dans un scénario plus grand, à inscrire dans une campagne. En fait, l’idée c’est vraiment de composer son commando et d’imaginer une histoire un peu plus étendue, telle qu’on peut le voir dans les romans de la Black Library. J’ai en tête la série assez bien écrite de Dan Abnett, les fantomes de Gaunt avec ce livre qui m’a fait découvrir ces romans :

IMPOSSIBLE DE NE PAS ME REPRESENTER UN COMMANDO DE LA GARDE AVEC LE NOM DES HEROS DE LA SERIE !

En fait, là où je pouvais voir dans dans ce jeu un micro jeu d’escarmouche compétitif et bourrin avec des apriori énormes (un Shadespire 40k ?), je découvre en fait le texte de ce livre de règle qui donne de la profondeur et qui me plonge dans des scènes mentales faisant la part belle à mon imagination . Rien qu’en lisant le début de ce livre je m’imagine déjà composer mon escouade et équiper par des conversions chaque membre de l’équipe. Ceci afin de pouvoir remplir le plus de tâches stratégiques et de m’adapter à tous types de missions et d’adversaires, grâce au choix de figurines . Je crois que Games Workshop à tout à fait réussi par l’introduction de ce livre à me prendre par les sentiments et a déclenché tout mon intérêt pour les petites sections type forces spéciales, typiquement ce qu’on adore en faisant de l’airsoft et me mettre dans la position de coach où je choisis mes opérateurs avec leurs spé pour mener à bien la mission. Juste avant d’aller bosser je me rue sur la section Space Marine avant d’avoir terminé les règles , car je dois avouer qu’après avoir lu ça, imaginer une figurine postée en hauteur avec un fusil de précision pour couvrir la progression de ses compagnons d’armes me botte totalement. Ceci entraînant cela, rien de plus normal que de regarder directement l’équipement possible des Space Marine, et des gardes impériaux, n’est ce pas !?

Un ou deux jours plus tard, j’ai parcouru les règles et n’étant pas un grand joueur de wargame, j’ai trouvé ça plutôt simple. Cela reprend le systèmes Warhammer 40k V8, avec quelques petites modifications et ajouts de règles pour certains types de missions propres aux terrains, etc. Force d’arme sur endurance, capacité de tir et de combat, sauvegarde, bref tout plein de termes qui ne choquent pas lorsqu’on a déjà ne serait-ce qu’approché le jeu de figurines avec dés.

Le reste du livre va donc me présenter les différentes missions, illustrées chacune par la page de règle propre à celles ci et des schémas de la table à installer. Il y a bien sur la mention « laisser libre court à votre imagination » pour constituer des scénarios et la mise en place des décors.

Ayant une imagination qui me dépasse, je reste quand même très intéressé par ces différents exemples de parties. Des petits gars ont été payé pour pondre ça, avec je suppute, un cahier des charges qui inclus FUN et ÉQUILIBRE. Hé !? Est ce qu’ils ont mérité leurs livres sterling ? Je leur donne une chance !

Une semaine plus tard, j’ai parcouru missions et règles une deuxième fois, il me reste à découvrir en détails les factions autres que celles dont j’ai les figurines. Ce n’est pas un hasard, mais un choix ! Je vois déjà l’idée d’acheter plein de boites pour avoir d’autres équipes et races… C’est un péril dans lequel je ne veux pas tomber. Même si à l’heure où j’écris ces lignes, vous imaginez bien que mon porte monnaie lutte contre mon esprit fluff et peinture !

GuillaumeD